Une fois encore Daniel Benoin nous offre une pièce magnifique.
Laurent Terzieff, comédien fantastique, plein de subtilité, de faiblesse et de force, incarne Victor Quinn, un millionnaire qui a fait fortune dans les nouvelles technologies, Benjamin Bellecour Paul Peplow adhérent aux alcooliques anonymes, abandonné par une fiancée à la douzaine d’amants, pigiste pour le plus mauvais journal de Londres, fera la connaissance d’Elsa, Dominique Hollier, maginifiquement fragile et sensuelle, l'épouse de Vctor, est une alcoolique repentie prête à se jeter dans les bras de Paul.....
Une pièce qui vous prend aux tripes, une petite musique s'installe, la fin est superbe.
Belle mise en scène, le public niçois a aimé cette pièce, je note une fois encore la présence de Laurent Terzieff un corps en peau de chagrin, la séduction toute méphistophélique.
Terzieff trouve une fois encore la profondeur et la légèreté pour défendre un théâtre anglo-saxon en lui apportant toute la poésie qui lui manque avecson corps plein de fragilité, visage émaccié et blême...
Oui, une fois de plus Daniel Benoin nous a programmé une pièce splendide.
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